Lorsqu’invités à dessiner leur famille avant et après le conflit, les chercheurs ont constaté que plusieurs des participants avaient choisi de se représenter avec un visage triste dans les dessins d’après-guerre.
Pour la plupart des gens, la fin d’un conflit armé est synonyme de soulagement, d’espoir et d’une vie sans violence. Pour de nombreux enfants nés des viols de guerre, les brutalités se poursuivent toutefois après l’armistice.
Voilà le constat d’une récente étude menée auprès d’enfants nés de mères enlevées et violées par des soldats de l’Armée de résistance du Seigneur (ARS), un groupe rebelle mené par Joseph Kony, tristement célèbre pour sa brutalité pendant la guerre civile ougandaise entre 1986 et 2007.
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